La transformation numérique est un sujet brûlant dans les milieux bancaires depuis des décennies. Mais beaucoup d'entre elles en sont encore aux balbutiements de la technologie transformatrice de la fin des années 2000.
Seulement 15% des banques qui disent avoir commencé le processus avant 2018 ont terminé.
Un nombre surprenant de 56% sont moins de la moitié de leur transformation. D'où la question suivante : les banques sont-elles prêtes à mettre à l'échelle leurs initiatives en matière d'IA ?
Les banques sont dans une position unique pour tirer parti du vaste potentiel de l'intelligence artificielle (IA).
En exploitant l'IA, les banques peuvent rationaliser leurs opérations, réduire les coûts, améliorer leur service à la clientèle et mieux gérer leurs risques.
Voici quelques façons dont les banques peuvent utiliser l'IA pour atteindre ces objectifs :
Pour les banques historiques, le même obstacle qui les a retenues pendant des décennies fera ou non leur succès avec l'IA : leur infrastructure existante.
En fait, l'IA incite les banques à accélérer les initiatives numériques stratégiques. Les projets d'intelligence artificielle nécessitent des ressources informatiques avancées (ce qui encourage l'adoption du cloud), des données non silencieuses (incitant à l'automatisation et à l'orchestration des processus), et une structure informatique qui accélère la mise sur le marché (en favorisant l'intégration des API et l'architecture modulaire).
Du point de vue des données, les banques ont un as dans leur poche. L'IA est un apprenant perpétuel, qui acquiert de nouvelles connaissances et améliore ses méthodes à mesure qu'elle traite de plus en plus de données, ce dont les banques ne manquent pas. Alors que certaines institutions considèrent le flot de données comme une entrave, l'IA y trouve des opportunités. La réduction des coûts, l'augmentation des revenus et une personnalisation révolutionnaire peuvent apparaître à partir de données préexistantes. Pour les banques mondiales prêtes à faire le saut, l'IA peut débloquer 1 000 milliards de dollars de nouveaux revenus.
